Les quatre premières représentations de notre nouveau spectacle La maladie blanche seront données dans le petit village d’Auvergne où nous organisons d’habitude notre festival La Belle Rouge : Saint-Amant-Roche-Savine, les 29, 30 juillet et 3, 4 août 2021 !
Nous n’avons pas pu jouer l’année dernière pour cause de COVID… Cette année encore pas de festival mais nous jouerons notre spectacle À contre-courant à Saint-Amant-Roche-Savine (63) !
Les quatre premières représentations de notre nouveau spectacle La maladie blanche seront données dans le petit village d’Auvergne où nous organisons d’habitude notre festival La Belle Rouge : Saint-Amant-Roche-Savine, les 29, 30 juillet et 3, 4 août 2021 !
Les quatre premières représentations de notre nouveau spectacle La maladie blanche seront données dans le petit village d’Auvergne où nous organisons d’habitude notre festival La Belle Rouge : Saint-Amant-Roche-Savine, les 29, 30 juillet et 3, 4 août 2021 !
Initialement prévues en mars et reportées à cause de la pandémie, deux expositions consacrées à la Commune de Paris célébreront tout au long du mois de septembre les 150 ans de l’insurrection parisienne. La première, produite par l’association 7 à voir et scénographiée par le collectif Au fond à gauche, est proposée du 11 septembre au 1er octobre dans le parc de Tremblay. Échelonnée sur trois semaines, cette exposition composée de lithographies colorisées et d’affiches, présentera trois thématiques : les idées de la Commune (du 11 au 17 septembre), le rôle des femmes (du 18 au 24 septembre) et les artistes inspirés par la Commune (du 25 septembre au 1er octobre). La seconde exposition, installée à l’hôtel-de-ville, donnera à voir des documents originaux, tels que des affiches, des journaux, des gravures de cet événement historique qui a promu bon nombre d’idées avant-gardistes, dont la démocratie directe, l’égalité femme-homme, l’émancipation vis-à-vis du travail ou encore la laïcité et la défense des biens communs.
Journée spéciale
Le samedi 11 septembre, la Ville organise une journée spéciale, à l’occasion de laquelle, la rue de la Commune de Paris sera inaugurée au Vieux-Pays (à 10 heures), à 14 heures se tiendra le vernissage de l’exposition dans le parc (17h30 pour celle de l’hôtel de ville). Tout au long de l’après-midi des animations, des spectacles (À contre-courant à 15h30) et interventions sont également programmés. À noter : le pass sanitaire sera demandé. Tout le programme de la journée est à retrouver ici.
Vous pouvez aussi accéder à l’ensemble des journaux de la commune ici.
Deux jours de stage d’initiation au théâtre pour les 15-18 ans avec pour objectif de créer un groupe pour jouer un spectacle en fin de saison 2021.
Samedi 25 et vendredi 26 septembre 2021 de 14h à 19h.
Frais de participation : 10€
Inscriptions : 01 49 98 39 20
La Belle Étoile est contrainte, comme tout les lieux accueillant du public, d’appliquer les mesures sanitaires en vigueur.
Deux jours de stage d’initiation au théâtre pour les 15-18 ans avec pour objectif de créer un groupe pour jouer un spectacle en fin de saison 2021.
Samedi 25 et vendredi 26 septembre 2021 de 14h à 19h.
Frais de participation : 10€
Inscriptions : 01 49 98 39 20
La Belle Étoile est contrainte, comme tout les lieux accueillant du public, d’appliquer les mesures sanitaires en vigueur.
Dans la continuité du questionnement sur les aliénations contemporaines, MASONN (Murs), qui est le 3ème volet d’un triptyque chorégraphique initié par DEPWOFONDIS et J’HABITE UNE BLESSURE SACREE, explore la question du même et de l’autre.
Sujet sensible, s’il en est, il fait de plus en plus l’objet d’une frilosité croissante voire de sentiments aussi opposés que l’envie et la peur voire la haine vis à vis de l’autre. Sujet récurrent depuis la nuit des temps, le thème de l’altérité est indissociable de tous ces bouleversements nés des migrations postcoloniales. Il met en exergue la question du vivre ensemble.
A la base de ce projet : les mémoires corporelles. Ce qui les oppose, ce qui les relie.
Max Diakok a voulu mettre en valeur la façon dont la relation entre des singularités devient un objet de malentendus. Le dispositif vidéo-scénographique renforce ces diverses illusions.
Enfin, ce thème lui renvoie à la notion de territorialité propre au règne animal, reliée au concept de proxémie créé par l’anthropologue Edward T. Hall.
« Les murs qui se construisent aujourd’hui (au prétexte de terrorisme, d’immigration sauvage ou de dieu préférable) ne se dressent pas entre des civilisations, des cultures ou des identités, mais entre des pauvretés et des surabondances, des ivresses opulentes mais inquiètes et des asphyxies sèches (…) Les murs menacent tout le monde, de l’un et l’autre côté de leur obscurité. » (Patrick Chamoiseau et Edouard Glissant).
Pour ce projet, le chorégraphe s’est entouré d’interprètes issus de la danse Hip-hop et de la danse afro-contemporaine.
Plus d’infos : https://compagnie-boukousou.fr/pieces-du-repertoire/masonn-murs/
- jeudi 30 septembre – 20h30
- vendredi 1er octobre – 10h et 20h30
Réservations : https://www.helloasso.com/associations/compagnie-boukousou/evenements/masonn-murs-1
La Belle Étoile est contrainte, comme tout les lieux accueillant du public, d’appliquer les mesures sanitaires en vigueur.
Dans la continuité du questionnement sur les aliénations contemporaines, MASONN (Murs), qui est le 3ème volet d’un triptyque chorégraphique initié par DEPWOFONDIS et J’HABITE UNE BLESSURE SACREE, explore la question du même et de l’autre.
Sujet sensible, s’il en est, il fait de plus en plus l’objet d’une frilosité croissante voire de sentiments aussi opposés que l’envie et la peur voire la haine vis à vis de l’autre. Sujet récurrent depuis la nuit des temps, le thème de l’altérité est indissociable de tous ces bouleversements nés des migrations postcoloniales. Il met en exergue la question du vivre ensemble.
A la base de ce projet : les mémoires corporelles. Ce qui les oppose, ce qui les relie.
Max Diakok a voulu mettre en valeur la façon dont la relation entre des singularités devient un objet de malentendus. Le dispositif vidéo-scénographique renforce ces diverses illusions.
Enfin, ce thème lui renvoie à la notion de territorialité propre au règne animal, reliée au concept de proxémie créé par l’anthropologue Edward T. Hall.
« Les murs qui se construisent aujourd’hui (au prétexte de terrorisme, d’immigration sauvage ou de dieu préférable) ne se dressent pas entre des civilisations, des cultures ou des identités, mais entre des pauvretés et des surabondances, des ivresses opulentes mais inquiètes et des asphyxies sèches (…) Les murs menacent tout le monde, de l’un et l’autre côté de leur obscurité. » (Patrick Chamoiseau et Edouard Glissant).
Pour ce projet, le chorégraphe s’est entouré d’interprètes issus de la danse Hip-hop et de la danse afro-contemporaine.
Plus d’infos : https://compagnie-boukousou.fr/pieces-du-repertoire/masonn-murs/
- jeudi 30 septembre – 20h30
- vendredi 1er octobre – 10h et 20h30
Réservations : https://www.helloasso.com/associations/compagnie-boukousou/evenements/masonn-murs-1
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– OTAN : un risque pour la paix.
– Protection sociale : chômage, retraite, code du travail et j’en pass
– Compagnie Jolie Môme
– Los Fralibos
– Logos Admetos et guests
politiques, syndicaux et associatifs.